Former le citoyen à aimer davantage son pays, à le servir par le travail, rien que le travail, en combattant la corruption, la complaisance et le laxisme. GUEUM SA BOPP (la confiance en soi) devra être l’un des principes fondamentaux pour restaurer les valeurs en déliquescence.
Pour ce faire, on s’appuiera sur l’éducation et la religion comme moyens durables de construire le citoyen sénégalais dès son plus jeune âge.
• Inscrire dans la Constitution la lutte contre la corruption pour plus de transparence dans la gestion des deniers publics. Un bureau et un site internet seront mis en place pour renseigner les citoyens sur toutes les dépenses effectuées avec l’argent du peuple.
• Renforcer les pouvoirs et élargir les compétences de l’ARMP et de l’OFNAC, les mettre au cœur du dispositif anti-corruption dans l’administration publique.
• Auditer certains grands travaux de l’Etat, au besoin, renégocier les accords sur les contrats relatifs à nos ressources minières et pétrolières ainsi que tout autre contrat douteux sur les 20 dernières années.
• Généraliser la gestion axée sur les résultats dans les services publics et y restaurer la rigueur, la déontologie et la diligence.
• Interdire toute adhésion à une formation politique à tout agent de l’Etat occupant de hautes fonctions ou responsabilités, pour plus de neutralité et d’impartialité dans l’administration.
• Dématérialiser et décentraliser le paiement des contraventions (Police et Gendarmerie).
• Lutter contre les voleurs de la république en incitant les populations à dénoncer les fonctionnaires et élus soupçonnés de détenir des biens mal acquis ; 15% de ces biens récupérés seront octroyés aux dénonciateurs si l’enquête est concluante.
• Réformer le foncier pour moderniser l’exploitation des ressources naturelles tout en préservant les droits légitimes des paysans.
• Poursuivre l’audit du foncier notamment dans les régions de Dakar et Thiès (cas Diamniadio, Diass, Dague Kholpa, Gare routière pompier, le VOR et Aéroport LSS).
• Réduire la taille du gouvernement avec une équipe composée de 20 ministres au maximum.
• Réduire la taille du cabinet du Président de la République avec au maximum 20 conseillers.
• Vendre l’avion Présidentiel (Pointe Sangomar) et 80% du parc automobile de la Présidence pour des investissements prioritaires dans les secteurs de l’éducation et de la santé.
• Organiser, par une loi, la sécurité du Président de la République et du personnel à sa disposition. Elle sera du ressort exclusif du Conseil National pour la Sécurité.
• Supprimer le HCCT (Haut Conseil des Collectivités Territoriales) et transférer ses missions aux services compétents.
• Réformer le Conseil Economique Social et Environnemental et réviser le mode de désignation des membres et leurs rémunérations.
• Supprimer les postes de Gouverneur de régions et renforcer les prérogatives des Préfets.
• Supprimer 1/3 des ambassades ainsi que les salaires des femmes d’ambassadeurs et réduire le personnel des ambassades maintenues.
• Supprimer les missions et les dépenses inutiles dans les ministères et sociétés nationales.
• Fixer le nombre de députés, y compris ceux de la diaspora, à 80 (supprimer les salaires et les remplacer par des jetons de présence)
• Revoir et corriger les systèmes de gratifications et autres indemnités (fonds communs et indemnités similaires perçus par certains agents de l’Etat).
• Revaloriser les salaires et pensions de retraites avec 30% de hausse sur une période de 4 ans.
• Améliorer l’accueil, la prise en charge et le suivi des malades dans nos structures de Santé.
• Renforcer le recrutement du personnel soignant afin d’absorber les 4000 médecins, infirmiers, sages femme et aides soignants au chômage.
• Construire un centre de santé dans chaque localité de plus de 5000 habitants ; à défaut, implanter des unités légères d’assistance médicale et d’évacuation dans toutes les communes du Sénégal.
• Relever le plateau médical à l’intérieur du pays avec la construction d’hôpitaux de niveau 4 à Ourossogui, Tamba, Mbour, Mbacké, Ndioum, Fatick et Kolda.
• Interdire, à tout agent de santé recruté dans les services publics, les vacations (khar matte) dans les établissements de santé privés.
• Auditer certains grands travaux de l’Etat, au besoin, renégocier les accords sur les contrats relatifs à nos ressources minières et pétrolières ainsi que tout autre contrat douteux sur les 20 dernières années.
• Généraliser la gestion axée sur les résultats dans les services publics et y restaurer la rigueur, la déontologie et la diligence.
• Interdire toute adhésion à une formation politique à tout agent de l’Etat occupant de hautes fonctions ou responsabilités, pour plus de neutralité et d’impartialité dans l’administration.
• Dématérialiser et décentraliser le paiement des contraventions (Police et Gendarmerie).
• Lutter contre les voleurs de la république en incitant les populations à dénoncer les fonctionnaires et élus soupçonnés de détenir des biens mal acquis ; 15% de ces biens récupérés seront octroyés aux dénonciateurs si l’enquête est concluante.
• Réformer le foncier pour moderniser l’exploitation des ressources naturelles tout en préservant les droits légitimes des paysans.
• Poursuivre l’audit du foncier notamment dans les régions de Dakar et Thiès (cas Diamniadio, Diass, Dague Kholpa, Gare routière pompier, le VOR et Aéroport LSS).
• Adopter la loi sur la médecine traditionnelle et délivrer une licence pour les tradipraticiens.
• Appliquer l’interdiction de fumer dans les lieux publics.
• Interdire la vente d’alcool en dosette et la vente de cigarettes aux mineurs
• Protéger la Constitution des manipulations politiciennes : toute modification de la constitution sera applicable quinze (15) ans après son adoption par referendum.
• Interdire au Président de la République d’être chef de parti. Il ne présidera plus le Conseil Supérieur de la magistrature, qui gère la carrière des magistrats ; ceci pour une justice libre de toute pression venant de l’Exécutif.
• Détacher l’Inspection Générale d’État de la présidence pour plus d’autonomie et lui permettre de transmettre ses rapports directement au procureur de la République en cas de nécessité de poursuite. Si au bout de trois mois aucune poursuite n’est engagée, l’IGE peut s’autosaisir.
• Confier l’organisation des élections au Sénégal à une Commission Electorale Nationale Indépendante dont les membres seront choisis par l’assemblée nationale.
• Adopter le bulletin unique pour plus d’efficience et de transparence du vote.
• Supprimer la liste majoritaire aux élections législatives : faire élire tout député directement par le peuple dans chaque département.
• Encadrer les pouvoirs du Président de la République par une Assemblée Nationale de rupture qui devra valider toutes ses décisions majeures avec impact direct sur le vécu du sénégalais.
• Soumettre les nominations de Directeurs Généraux de sociétés nationales et autres agences à un appel à candidature et faire valider la nomination par l’assemblée nationale après une audition publique.
• Réduire le nombre de partis politiques au Sénégal en faisant respecter toutes les dispositions de la loi concernant les partis politiques (Siège, renouvellement des instances, transmission des états financiers etc..), tout manquement entrainera le retrait du récépissé. Exigez 500 000 signatures pour tout nouveau parti. Les récépissés seront désormais délivrés par la cour suprême qui devra suivre la procédure de création des partis.
• Interdire aux personnes ayant exercé une mission publique rémunérée avec le budget de l’Etat de changer de formation politique pour lutter contre le phénomène de la transhumance politique.
• Réformer le système universitaire et repenser les contenus programmatiques (Concertation Nationale sur l’Avenir de l’Enseignement Supérieur). Améliorer les conditions sociales et pédagogiques dans nos universités.
• Supprimer « la vacatarisation » dans l’enseignement supérieur.
• Faire élire les recteurs d’universités par le corps professoral.
• Bannir l’injustice sociale dans le traitement salarial des enseignants et éliminer les statuts précaires : vacataires et volontaires.
• Améliorer l’environnement des apprentissages en éliminant le phénomène des classes en abris provisoires (6600) grâce à la vente de l’avion présidentiel (Pointe du Sangomar) et combler le gap de 35 000 enseignants pour une éducation de qualité pour tous. Revoir systématiquement le système d’orientation et de guidance scolaire afin de rendre le système éducatif plus adapté, en mettant l’accent sur les sciences et la technologie dès la classe de 6ème.
• Préparer l’élève, dès le début du cycle moyen, à une formation professionnelle qualifiante à travers la création de lycées professionnels techniques et technologiques dans tous les départements pour répondre aux besoins des entreprises.
• Renforcer l’enseignement religieux dans le système éducatif
• Introduire l’anglais, les langues nationales et l’informatique à l’école primaire. L’histoire et le parcours de nos érudits seront également enseignés à nos écoliers.
• Mettre en place un dispositif pour certifier les connaissances des maîtres coraniques et arabisants devant intégrer la fonction publique et subventionner l’enseignement religieux non formel (Daaras).
Le mouvement Gueum Sa Bopp est ouvert à l’ensemble des citoyens qui ont pour ambition de poser des actions pour le développement de notre pays.
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